DEPLACEMENT DECARBONE

DEPLACEMENT DECARBONE

Les transports et la mobilité sont prioritaires dans la gestion des territoires.

Le cabinet indépendant d’Etude et de Conseil IRVING  CONSULTING se positionne sur une partie de la filières mobilité douce décarbonée avec une expertise reconnue dans la création de solution de mobilité partagée et les  services associés.

Notre cabinet vise à répondre aux besoins des collectivités territoriales, des opérateurs, des entreprises grâce à  une expertise des solutions techniques et financières reconnues parfaitement adaptées.

Le site web que vous allez consulter a pour objectif de vous faire découvrir une panoplie de solutions de moyen de mobilités légères décarbonées susceptibles d’intéresser les entreprises de livraison, les centres de loisir, les opérateurs et les particuliers.

L’ensemble des ces solutions décrites peut être proposés en libre-service à partir de stations de recharge.

Empreinte carbone des e-trottinettes et VAE

La raison qui nous fait privilégier la distribution des e-trottinettes et des vélos à assistance électrique par le moyen de stations libre-service est totalement liée à la préservation de l’environnement et de l’empreinte carbone du vélo et de la trottinette électrique.

L’empreinte carbone est “un indicateur estimant la quantité de gaz à effet de serre émise pour satisfaire la consommation au sens large (biens, services, utilisation d’infrastructures) d’un individu, d’une population, d’un territoire ou d’une activité, en tenant compte des émissions liées aux importations et aux exportations quel que soit le lieu de production de ces biens et services (production intérieure ou importations).”

L’empreinte carbone représente la quantité de gaz à effet de serre (GES) induite par la demande finale intérieure d’un pays (consommation des ménages, administrations publiques, organismes à but non lucratifs, investissement), que ces biens ou services soient produits sur le territoire national ou importés.

l’Empreinte carbone, est i constituée par :

  • les émissions directes de GES des ménages (principalement liées à la combustion des carburants des véhicules particuliers et la combustion d’énergies fossiles pour le chauffage des logements) ;
  • les émissions de GES issues de la production intérieure de biens et de services destinée à la demande intérieure (c’est-à-dire hors exportations) ;
  • les émissions de GES associées aux biens et services importés, pour les consommations intermédiaires des entreprises ou pour usage final des ménages.

Le CO2 n’est pas le seul gaz à effet de serre. On peut aussi citer entre autres le méthane et le protoxyde d’azote, chacun avec un impact environnemental différent. Pour pouvoir tous les rassembler, on raisonne en termes de masse équivalente de CO2 (kgCO2e) – exemple : 1kg de méthane = 28 kgCO2e. Lorsque l’on parle de CO2, on parle donc en réalité de CO2e.

D’après l’European Cyclists Federation

Lorsque le cycle de vie complet des modes de transport suivants est pris en compte, les émissions de carbone sont approximativement les suivantes :

– Bicyclette : 21 g de CO2/passager/km parcouru.

– Vélo à assistance électrique : 22 g de CO2/passager/km parcouru

– Voiture particulière : 271 g de CO2/passager/km parcouru

– Bus : 101 g de CO2/passager/km parcouru

Une personne à vélo qui parcourt 8 km pour se rendre au travail, quatre jours par semaine, évite 3220 km de conduite par an, soit l’équivalent de 380 L d’essence économisés et 750 kg d’émissions de CO2 évitées.

Plusieurs études ont montré que le libre-service en free floating des vélos à assistance électrique et des e-trottinettes a plus d’impact sur l’environnement que le même moyen de transport détenu par ses utilisateurs ou distribué par des stations  de charge et de partage.

Pour les trottinettes et les VAE en free-floating l’impact est dû  pour moitié à la fabrication et pour moitié à la gestion de la flotte.

Concernant la fabrication, l’impact est dû à une faible durée de vie de ces moyens de transport en free-floating alors que la fabrication du cadre en aluminium et de la batterie lithium-ion nécessite un lourd processus de fabrication pour une durée de vie  réduite  avant d’être mise au rebut.

Les émissions de CO2 sont dues également à la gestion du remplacement des batteries vides par des batteries chargées transportées jusqu’au lieu de stationnement des véhicules.